Description
En 1982, la carrière musicale de Nico, l’ancienne top-modèle, la chanteuse culte du Velvet Underground, l’ex-égérie de Warhol et de Philippe Garrel, est au point mort. Au hasard de sa vie d’errance, plus accro que jamais à l’héroïne, elle échoue à Manchester. Pour le Dr Demetrius, un excentrique tourneur local, l’occasion est trop belle : il la persuade de tenter un come-back et rassemble de toutes pièces un groupe de musiciens pour l’accompagner. Parmi eux, James Young, un jeune étudiant que rien ne destinait à rejoindre cette troupe de saltimbanques. C’est le début d’une tournée chaotique de plusieurs centaines de concerts qui s’étalera sur six années et les emmènera dans le monde entier. Un road-trip halluciné que Young raconte avec un humour décapant, à mi-chemin entre le Big Lebowski des frères Coen et la folie British des Monty Python.
Traduit de l’anglais (Royaume-Uni) par Charles Villalon.
Né en 1952, James Young est un musicien et écrivain britannique. Il commença à jouer du piano à 7 ans et abandonna à 30 ans une carrière universitaire prometteuse pour devenir le « clavier » de Nico, ce qui lui permit d'être le témoin privilégié des dernières années de celle qui fut une véritable icône de l'ère Warhol et de l'univers du rock. À sa parution en 1993, Nico, The End était son premier livre.
« Étourdissant, peut-être la meilleure odyssée rock jamais écrite ! On retrouve Nico en chair et en os dans ce récit génial ; je l'ai reconnue au premier coup d'œil. James Young tenait les claviers dans la bande très à part de musiciens déjantés qui l'a accompagnée lors de son ultime tournée, et c'est un écrivain spectaculaire. Laissez-le vous transporter dans la cour vagabonde de celle qui restera à jamais la divinité de l'underground musical. »
« Un chef-d'œuvre de littérature. »
« Une chronique hilarante et profonde, farce noire digne des classiques du rock. »
« Un mélange parfait d'admiration, d'intelligence et de cinéma-vérité. »