Description
Des lettres écrites aux derniers jours de sa vie. Roland Pozzo di Borgo se savait condamné.
Le combat lui fut un supplément d’âme. Il a voulu, tout à la fin, laisser une trace, parler enfin à son fils trop jeune pour entendre ses mots de vivant, dire un peu de son existence tumultueuse et si riche. La pudeur et la souffrance ne lui auront pas permis d’annoncer l’essentiel de ce qu’il fut : un inventeur de mondes, un découvreur, un industriel, un mécène. Seul l’écho d’un départ et toute la tendresse d’un père.