Description
Voici les mémoires tant attendus de la légendaire Grace Jones. Reine incontestée du spectacle, mannequin, muse, chanteuse, actrice, créature à la plastique si singulière, elle a incarné comme personne les années 1975-1985. Aussi l’exubérance et les dangers de cette décennie traversent-ils cette autobiographie, au casting idéal bien qu’hétéroclite : Andy Warhol, Jean-Paul Goude, Issey Miyake, Dolph Lungren, les vacataires du Studio 54 et ceux du Palace, Luciano Pavarotti, Jessica Lange… Mais ce qui fait de Grace Jones une artiste à part, c’est son goût pour l’avant-garde. Sa musique est un savant mélange de house, de reggae et d’électro, avec des tubes comme Pull up to the Bumper, Slave to the Rhythm, ou encore sa reprise mythique de La Vie en rose.
Je n’écrirai jamais mes mémoires retrace le parcours de cette pionnière, de sa Jamaïque natale à sa conquête de New York puis de Paris. Une vie de combattante qui se poursuit encore et toujours, sans aucune concession aux facilités.
Propos recueillis par Paul Morley, auteur, animateur, critique culturel, qui écrit sur la musique, l’art et le spectacle depuis les années 1970.
Traduit de l’anglais par Catherine Biros.
Grace Jones est mannequin, chanteuse et actrice, tout autant reconnue pour ses films et sa musique que son style personnel excentrique. Née en Jamaïque en 1948, Grace Jones commence sa carrière de mannequin à New York. C'est en 1977 qu'elle signera son premier disque, premier d'une longue carrière dans laquelle figure des titres populaires comme Pull up to the Bumper, Slave to the Rhythm ou I'm Not Perfect (But I'm Perfect for You).
« Disco queen tout feu tout flamme. »