En 1970 paraît chez Gallimard un roman qui va faire l’effet d’une bombe : Le Schizo et les langues. Son auteur s’appelle Louis Wolfson. Il est américain, schizophrène, et la nouveauté radicale, l’énergie fulgurante de son écriture fascinent les plus grands noms : Deleuze (qui signe la préface de l’ouvrage), Queneau, Sartre, Beauvoir, Foucault, Auster ou encore Le Clézio, tous saluent la naissance d’un écrivain hors norme. Mais peu après la publication de son livre, Wolfson disparaît, ne ressurgissant qu’à de rares occasions. Les plus folles rumeurs courent à son sujet : il aurait mené une vie de marginal, errant des rues de Montréal à la jungle de Porto Rico, puis serait devenu millionnaire en gagnant à la loterie… avant de tout perdre, et de se volatiliser pour de bon. Que lui est-il arrivé ? Est-il au moins encore en vie ? A-t-il laissé d’autres textes, restés inédits ?
« Toutes les vertus retournées sous tous les angles, puis démontées, puis démolies, puis incendiées, puis rasées : les deux volumes d’Esprit constituent cette implacable, monotone, fascinante machine meurtrière. »
C’est en ces termes que Pascal Quignard, à qui l’on doit la redécouverte de ce joyau oublié du Grand Siècle, décrit le projet de La Fausseté des vertus humaines. Cinquante-six chapitres au fil desquels Jacques Esprit s’applique à dénoncer le règne de l’hypocrisie et des faux-semblants.
Ascenseur pour l’échafaud, Plein soleil, La Piscine… autant de films inoubliables au fil desquels Maurice Ronet a marqué le cinéma français de sa présence unique. Un talent brut que rien, pas même l’ombre d’Alain Delon, son éternel rival à l’écran, n’est parvenu à éclipser. Peut-être parce que l’interprète du Feu follet, justement, a toujours été plus qu’une vedette : il a ce mélange de charme et de séduction, de panache et de désinvolture, cette culture qui signalent l’honnête homme à coup sûr.
En témoignent deux ouvrages, devenus introuvables, que l’on a cru de bon ton de republier dans ce volume.
Qui se souvenait d’Hedy Lamarr il y a encore quelques années, au moment de la première parution française d’Ecstasy and Me, son autobiographie explosive ? Pénélope Bagieu venait de lui consacrer un portrait dans ses Culottées, tandis que s’apprêtait à sortir en salles Bombshell: The Hedy Lamarr Story, un documentaire produit par Susan Sarandon retraçant son incroyable destin. Depuis, l’ancienne star déchue s’est vue propulsée au rang d’icône féministe et toute une nouvelle génération s’en est emparée.
Préface de Clémentine Goldszal.
Traduction de l’anglais (États-Unis) et postface de Charles Villalon.
« Il faudrait que je meure ou que j’aille à la plage », écrivait Michel Houellebecq. Si l’on penche pour la seconde solution, autant prévoir de la lecture (moins utile pour le premier choix, on en conviendra…). Dans ce cas, ce Grand Livre de la littérature de plage constitue la meilleure des options. Il rassemble, sous la forme d’une anthologie désordonnée et originale, des pages émouvantes, mordantes, troublantes ou amusantes sur les plaisirs balnéaires.
En 1970 paraît chez Gallimard un roman qui va faire l’effet d’une bombe : Le Schizo et les langues. Son auteur s’appelle Louis Wolfson. Il est américain, schizophrène, et la nouveauté radicale, l’énergie fulgurante de son écriture fascinent les plus grands noms : Deleuze (qui signe la préface de l’ouvrage), Queneau, Sartre, Beauvoir, Foucault, Auster ou encore Le Clézio, tous saluent la naissance d’un écrivain hors norme. Mais peu après la publication de son livre, Wolfson disparaît, ne ressurgissant qu’à de rares occasions. Les plus folles rumeurs courent à son sujet : il aurait mené une vie de marginal, errant des rues de Montréal à la jungle de Porto Rico, puis serait devenu millionnaire en gagnant à la loterie… avant de tout perdre, et de se volatiliser pour de bon. Que lui est-il arrivé ? Est-il au moins encore en vie ? A-t-il laissé d’autres textes, restés inédits ?
« Toutes les vertus retournées sous tous les angles, puis démontées, puis démolies, puis incendiées, puis rasées : les deux volumes d’Esprit constituent cette implacable, monotone, fascinante machine meurtrière. »
C’est en ces termes que Pascal Quignard, à qui l’on doit la redécouverte de ce joyau oublié du Grand Siècle, décrit le projet de La Fausseté des vertus humaines. Cinquante-six chapitres au fil desquels Jacques Esprit s’applique à dénoncer le règne de l’hypocrisie et des faux-semblants.
Ascenseur pour l’échafaud, Plein soleil, La Piscine… autant de films inoubliables au fil desquels Maurice Ronet a marqué le cinéma français de sa présence unique. Un talent brut que rien, pas même l’ombre d’Alain Delon, son éternel rival à l’écran, n’est parvenu à éclipser. Peut-être parce que l’interprète du Feu follet, justement, a toujours été plus qu’une vedette : il a ce mélange de charme et de séduction, de panache et de désinvolture, cette culture qui signalent l’honnête homme à coup sûr.
En témoignent deux ouvrages, devenus introuvables, que l’on a cru de bon ton de republier dans ce volume.